A quoi on sert sur la Terre ?

On s’est tous au moins une fois demandé « mais à quoi je sers sur Terre ? »

A quoi on sert sur la Terre ?

Dans l’éventualité où vous auriez un doute sur votre raison d’exister, sachez que tout le monde a sa place dans l’univers…

On existe pour aimer, ou être aimé, accomplir une tâche, faire un travail, transmettre son savoir ou ses compétences, aider les autres, soutenir et réconforter les plus faibles, élever ses enfants, sauver des vies, changer les choses, découvrir, chercher, inventer, créer, écrire, divertir, faire le bien, faire le mal…

Vous voyez bien que vous servez ou que vous avez servi à faire une ou plusieurs choses dans votre vie !

Vous comprendrez aussi que sans les autres vous auriez fort peu de raison d’être car vous ne pouvez exister que pour et à travers les autres. Alors, il faut prendre garde à ne pas trop tourner votre attention sur vous même et vous rendre malade de ne pas avoir la vie dont vous rêviez ou vous plaindre constamment de votre condition car, vous pourriez ne pas trouver le sens de votre vie et vous pourriez même passer à côté des bonnes choses qui vous étaient réservées…

Mettre un terme aux hostilités

Mes clients et ceux qui participent à mes formations, me demandent toujours comment pouvoir mieux gérer les relations insatisfaisantes auxquelles ils sont confrontés.

Mettre un terme aux hostilités

Les histoires sont toujours les mêmes, principalement c’est, «Je ne m’entends pas avec un collègue avec lequel je suis en poste…», «Je ne supporte pas ma belle famille…», «Je n’aime plus mon conjoint et nous n’avons plus le moindre respect l’un pour l’autre…», «Mes voisins me rendent la vie impossible…». Beaucoup de gens prennent cela philosophiquement, mais d’autres le vivent très mal au point qu’une mauvaise relation peut devenir leur principale source d’ennuis !

Donc là pour répondre il y a deux solutions. La première qui est, on fait «avec» ou «on compose» mais cela ne durera qu’un temps, car ce qui est négatif le restera et tout ce qui est négatif est mauvais pour l’être humain.

La deuxième solution, qui est selon moi franchement la meilleure pour conserver une bonne santé mentale, est naturellement de mettre un terme aux oppositions qui vous perturbent et vous affaiblissent.

Si votre collègue de boulot prend des airs paternalistes avec vous et qu’il se met à vous reprocher vos petits retards ou qu’il critique vos dépenses excessives… Mon conseil, parlez en à votre patron et demandez à changer de poste !

Si votre belle mère vous prend pour un nul et qu’en plus elle en a marre de vous voir tous les dimanches à sa table car elle trouve aussi que vous mangez comme un cochon… Mon conseil, refusez poliment ses invitations, après tout vous avez mieux à faire chez vous !

Si votre femme ne vous tolère que pour le confort que vous lui apportez ou que votre mari en aime une autre… Mon conseil, quittez votre conjoint cela vous rendra disponible pour une nouvelle relation plus saine et harmonieuse !

Si vos voisins se disputent tous les soirs et qu’en plus ils ne cuisinent que des trucs qui puent… Mon conseil, cherchez un logement ailleurs !

C’est simple, si vous ne supportez plus quelqu’un ou une situation, il vous faut l’éviter, c’est tout !  Bien sûr cela nécessitera une action de votre part, mais agir c’est le seul moyen d’arrêter de subir passivement.

LA CONFIANCE

La confiance est l’une des capacités que la pratique de la sophrologie permet de développer pour tout un chacun.

Avoir confiance, c’est être comme un enfant qui ne doute pas de l’amour que ses parents lui portent, car la confiance est un sentiment de sécurité vis-à-vis d’une situation, de quelque chose ou de quelqu’un.

Premièrement, la confiance dans les relations humaines nous permet d’être reliés et sans confiance il ne peut pas exister de relation véritable. Que ce soit dans le domaine sentimental, conjugal, familial, professionnel, social, tout se bâtit sur la confiance, sans elle rien ne peut se construire. On ne peut naturellement pas vivre ou travailler sereinement avec quelqu’un dont on se méfie, ce serait comme « avoir un loup dans la bergerie ».

Ensuite, il faut avoir confiance en soi car la confiance permet à l’individu d’avancer, de grandir, de s’épanouir et de donner le meilleur de lui-même, d’où l’intérêt de développer ce sentiment tout au long de sa vie.

Enfin, pour la confiance en l’avenir… Je dirais que si vous avez confiance en vous-même et que vous êtes entouré de gens en qui vous avez confiance, la réussite pour le futur vous est acquise car la confiance produit une énergie fabuleuse. Elle génère l’audace, l’enthousiasme, l’efficacité, le bon sens et elle vous permet de résister aux frustrations et contrariétés. Donc sans confiance, vous ne pourrez jamais aller bien loin.

Porter de l’attention aux enfants

On distingue deux formes d’attentions que l’on peut porter à ses enfants, l’une dite « positive » et l’autre « négative ».

L’attention positive c’est par exemple, sourire à son enfant, le câliner, l’embrasser, le porter, lui tenir la main, lui parler, l’écouter, le respecter, l’encourager, le féliciter, le consoler, le rassurer, l’accompagner, le surveiller, veiller à ce qu’il ne manque de rien, lui faire des gâteaux, lui préparer les choses qu’il aime bien manger, lui proposer des activités, être attentif à d’éventuels changements chez lui…

L’attention négative c’est hurler sur son enfant, le disputer, le subir, l’ignorer, le dévaloriser, le critiquer, le soumettre, lui faire du chantage, tout lui interdire, l’empêcher de s’exprimer, lui dire des horreurs, le frapper, le punir pour rien, l’abandonner et le laisser sans surveillance, se décharger de lui auprès des crèches, nounous ou grands parents, cantines ou études alors même qu’on ne travaille pas…

Si vous avez bien compris la différence entre l’attention positive et la négative, ce qu’il faut retenir c’est qu’elles restent « des attentions » que portent des parents à leurs enfants. De fait un enfant qui se sent délaissé va provoquer volontairement une attention négative chez ses parents et ce dans le seul but d’obtenir enfin de l’attention de leur part, car pour lui une attention négative c’est mieux que rien !

Bien entendu les enfants qui auront reçu beaucoup d’attention positive seront plus heureux, plus confiants, mieux guidés, plus sûrs d’eux, plus curieux et en définitif, mieux armés pour affronter et réussir leur future vie d’adulte.

Malheureusement ceux qui auront reçu beaucoup d’attention négative seront difficiles à comprendre, têtus, colériques, irrationnels, inconstants, incapables de se projeter dans l’avenir, ils pourront se sentir perdus ou incapables d’y arriver, dès lors ils pourraient facilement baisser les bras et se laisser aller vers la marginalité.

On ne détient rien dans la vie de plus précieux qu’un enfant. Ceux qui n’en sont pas convaincus ne devraient tout simplement pas en avoir.

La sophrologie permet aux gens qui ont subi des maltraitances dans leur enfance de reprendre confiance et de laisser les épisodes douloureux derrière eux.

Ce qui ne me tue pas me rend plus fort ?

Cette citation bien connue de Friedrich Nietzsche (philosophe all. 1844-1900) est actuellement reprise par la chanteuse américaine, Kelly Clarkson dans son hit «What doesn’t kill you makes you stronger».

Ce qui ne te tue pas te rend plus fort ! La formule peut rassurer et même séduire certaines personnes qui pourront créer ici un parallèle entre leurs mésaventures du passé et les leçons qu’ils auront pu en tirer.

Oui, c’est bien pour faire passer les petits soucis mais pas les grands chocs… Deuil, maladie, accident, licenciement, faillite, ruine, harcèlement, adultère, rupture, abus, maltraitance, échecs, désillusions… Quels que soient les événements que vous aurez à vivre, ils vont vous affaiblir définitivement si vous ne les prenez pas avec philosophie ou si vous ne pouvez pas rebondir sur une opportunité qui se présentera à vous au même moment.

Avec les années qui passent, les événements négatifs graves peuvent se cumuler pour certaines personnes qui deviendront alors toujours plus tristes et désespérées et qui perdront même tout espoir dans l’avenir. C’est pour cette raison que l’on observe un pic dans le taux de suicides chez les 45-55 ans.

Donc je dirais que l’idée de « ce qui ne te tue pas te rend plus fort » est mauvaise, car ce qui ne te tue pas sur le coup peut te tuer à petit feu…

La sophrologie est vivement conseillée aux gens qui se sentent « à bout » car elle permet de renforcer l’esprit ainsi que l’ensemble de la structure de l’être humain.

Eviter les émotions négatives

Six EmotionsAu cours de nos journées nous sommes amenés à vivre, à voir ou à entendre l’ensemble des évènements ou des situations qui se produisent autour de nous et ce, que l’on en soit l’auteur ou le spectateur. Notre cerveau perçoit et enregistre toute cette activité et cela crée pour nous des émotions positives ou négatives.

Pas besoin d’être devin pour comprendre que les émotions positives sont bonnes pour notre esprit et que les émotions négatives ne le sont pas ! Pourtant j’ai souvent été étonnée par le nombre des mes clients qui « cultivaient » les émotions négatives et c’est la raison pour laquelle je voulais vous en parler aujourd’hui.

Les émotions négatives sont partout, dans les journaux qui sélectionnent les pires catastrophes, dans les émissions qui montrent des images choquantes, dans les récits à la Zola, dans les films et les chansons tristes, dans nos relations insatisfaisantes, dans nos échecs, dans nos attentes, etc. On ne peut pas toujours y échapper mais il faut les éviter le plus possible, c’est très sérieux !

Je me souviens d’une de mes clientes qui se sentait soudainement très déprimée après avoir vu un film très triste qui retraçait un épisode barbare de la dernière guerre mondiale. Devant le réalisme des images, elle s’est trouvée comme transportée dans l’évènement, incapable de réaliser qu’il était fini depuis plus de 70 ans. Nous avons fait 4 ou 5 séances de sophrologie ensemble et elle m’en a beaucoup parlé avant enfin d’aller mieux.

Bien entendu tout le monde n’est pas aussi sensible, mais si vous voulez vous sentir mieux cherchez à vous créer des émotions positives car elles sont bonnes pour la santé et le moral !

Le pouvoir de diriger sa vie

Prendre soi-même ses décisionsChaque individu dispose de plusieurs libertés que l’on ne peut pas lui retirer comme par exemple, la pensée, les choix, le passage à l’action, les préférences, les envies, les changements, etc…, ceci représente ce qu’on appelle plus communément, le libre arbitre.

Le libre arbitre c’est un droit immatériel et inaliénable que chacun détient pour lui et il permet normalement à chaque individu de pouvoir diriger sa vie comme bon lui semble… En fait en théorie, car en réalité beaucoup de gens ont perdu le pouvoir de diriger leur vie !

Comment ? Assez facilement en fait ! Par exemple une personne qui a pour habitude de soumettre ses actions et décisions à l’approbation des gens qui l’entourent perd automatiquement son pouvoir de diriger sa vie. Pire encore cette personne ne pourra en finalité que faire ce que les autres veulent bien qu’elle fasse… pour eux, bien entendu !

Cela s’applique partout, par exemple, une relation ne sera possible que si l’élu du cœur plait aux parents, l’arrivée d’un nouvel ami sera soumise à l’acceptation des vieux amis, les choix politiques seront dictés par le conjoint, on ne s’opposera pas à la mauvaise gestion d’un associé, on sera infantilisé ou dévalorisé par les membres de sa propre famille, l’autorité parentale pourra être monopolisée par un seul des parents, la séparation d’un couple sera soumise à l’accord des enfants, on ne servira pas de légumes à table car les enfants n’aiment pas, on roulera dans une auto que l’on a pas choisi, on vivra avec des meubles qui ne nous plaisent pas, etc…

Pourquoi certains laissent aux autres la possibilité de diriger leur vie à leur place ? Pourquoi renoncent-ils volontairement à ce pouvoir pour le confier à n’importe qui d’autre à leur place ? Probablement à cause d’un grand manque d’assurance et par peur qu’on les apprécie moins, pourtant si ces gens prenaient eux-mêmes leurs décisions, ils reprendraient rapidement confiance en leurs capacités innées de faire les bons choix (comme l’intuition) et ils seraient plus estimés et non plus manipulés par les autres.

Vivre au présent

On a parlé récemment dans plusieurs magazines sur le sujet, « Vivre au présent… » Cela m’a donné naturellement l’envie de vous faire part de mon point de vue à ce propos !

L'investissement de toute une vie n'en vaut pas toujours la peine !

Selon moi vivre au présent c’est faire, dans un premier temps, table rase du passé pour ne garder que les bons souvenirs et ne conserver que les enseignements que l’on a pu tirer des expériences vécues.

Ensuite, vivre au présent c’est être attentif, disponible pour les nouveautés, saisir les opportunités, tenter sa chance, observer, agir, avoir confiance, profiter au maximum des bons moments, ne pas renouveler les expériences désagréables et mettre un terme aux relations qui ne sont plus satisfaisantes.

La plupart des gens ne vivent pas au présent, ils pensent qu’ils seront plus heureux plus tard, quand par exemple ils auront fini de payer leur maison, de payer leur voiture, quand les enfants auront fini leurs études, lorsqu’ils auront de l’avancement, ou encore lorsqu’ils trouveront l’amour ! Ainsi ils conditionnent leur bonheur à une échéance future et ils se privent naturellement de vivre heureux l’instant présent !

Pourtant raisonnablement, on peut se dire que quand la maison sera payée il faudra refaire un crédit pour y faire les réparations qui s’imposent, aussi que cette maison sera devenue trop grande quand les enfants seront partis et qu’ils n’auront pas voulu faire d’études, que la promotion tant attendue apportera plus de soucis et peu de rémunération et que quand l’amour apparaîtra soudainement on ne sera pas prêt à le recevoir puisque l’on ne vit pas dans le présent !

Bien sûr il faut penser et préparer l’avenir, mais il ne faut pas que cela empêche la réalisation du potentiel de bonheur, de chance et de réussite que chacun détient.

La vie c’est ici et maintenant !

 

Les lois de l’esprit

Vous l’ignorez sûrement mais votre esprit peut vous permettre d’atteindre vos objectifs et de réaliser vos rêves. A l’inverse, il peut vous placer dans des situations de blocages et d’insatisfactions.

Pourquoi ? Parce que votre esprit est régi par deux grandes lois,

La loi de l’effort inverse : Ce à quoi vous résistez, persiste. C’est-à-dire que si vous vous sentez pauvre, vous resterez pauvre. Dès lors, si vous souhaitez avoir quelque chose afin de vous sentir d’une certaine manière, vous sentir de cette manière est le meilleur moyen de l’obtenir plus rapidement.

La loi de l’attraction : Vous obtenez davantage dans votre vie lorsque vous vous concentrez régulièrement sur votre attention et que votre attention est tournée vers ce que vous voulez.

Avez-vous déjà remarqué que si vous pensez à une personne que vous n’avez pas vue depuis longtemps, vous la croisez soudainement. Ou que si vous voulez changer de voiture ou de chaussures vous voyez partout ce type d’auto ou ce modèle de chaussures ? Comment l’avez-vous expliqué ?

En fait l’esprit est comme un aimant et lorsque nous portons une attention toute particulière à quelque chose nous l’attirons vers nous.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, notre esprit a la possibilité d’attirer les événements, les choses ou les personnes dans notre vie !

Si vous vous concentrez sur le positif de la vie vous l’attirerez vers vous et vous serez considéré comme chanceux. Si vous vous concentrez sur la richesse potentielle qui existe vous en obtiendrez davantage ! C’est donc vous qui créez votre propre chance !

A l’inverse, si vous centrez votre attention sur la pauvreté et le manque, vous aurez tendance à les attirer dans votre vie. L’homme est le reflet de ce qu’il pense pour lui-même.

Que vous choisissiez ou non de croire dans la loi de l’attraction, il est intéressant de noter que beaucoup de personnes qui connaissent le succès y croient fermement !

Accueillir sereinement les changements

L’évolution d’une personne passe toujours par l’action et l’acceptation des changements.

Si pour vous les opportunités sont des peaux de bananes sur votre chemin, ou que vous restez avec votre conjoint qui ne vous respecte plus, ou que vous habitez depuis des années dans un endroit qui ne vous plait pas, ou que vous refusez les promotions ou mutations, ou que le fait de déplacer un meuble dans votre maison vous bouleverse… Désolée mais vous êtes bel et bien réfractaire aux changements !

Heureusement pour vous, il s’est produit beaucoup de changements dans votre vie (sinon vous seriez encore en couche culotte dans les bras de votre Maman) et si vous essayez de vous rappeler comment ils sont intervenus, dans quelles circonstances et comment vous étiez avant d’opérer ces changements dans votre vie, vous ne pourrez que constater qu’à chaque fois cela vous a été profitable !

Généralement on refuse le changement par peur de l’inconnu, par peur de déplaire, par paresse ou parce qu’on ne se croit pas capable… Cela n’est pas très grave si l’on se sent heureux comme on est, mais l’enjeu devient très important si au contraire on se situe à un moment de sa vie où on se sent malheureux et frustré, comme bloqué dans une impasse.

Il faut être très lucide sur soi même et admettre sa situation telle qu’elle est. Se demander ce qui va et ce qui ne va pas et ensuite déterminer ce qu’il faudrait changer pour être plus heureux et ne pas hésiter à mettre en œuvre des changements même s’il faut renoncer à d’autres aspects positifs de sa vie, cela en vaut la peine ! L’enjeu est là de réussir ou non sa vie !

Le temps perdu est perdu et les occasions manquées ne se représenteront pas, alors
pourquoi faire de la résistance au changement, puisque souvent il s’impose à nous de lui-même ?

Pour information le changement imposé passe par 7 phases qui sont : le choc, la dénégation, la frustration, la dépression, les expérimentations ou essais, les décisions et enfin l’intégration.