Pourquoi être méchant ?

Voilà un sujet que malheureusement je connais bien compte tenu du nombre de gens méchants qui ont surgi et gravité autour de moi tout au long de ma vie.

Leurs traits communs, ils ne demandent jamais pardon et ne cherchent pas à s’excuser pour tout le mal qu’ils ont fait. Ils ne pardonnent pas non plus à ceux qui ont mis en place des stratégies de défense contre eux, comme l’évitement par exemple.

Généralement, ils se contentent de relations superficielles et intéressées auxquelles ils mettent un terme de façon brutale lorsqu’ils n’en ont plus besoin.

Pourquoi les gens méchants le sont devenus ?

Au départ ils sont des êtres de lumière comme tout le monde mais y a un truc qui est allé de travers dans leur vie et depuis, ils sont comme définitivement aigris et de mauvaise humeur. On dirait que pour eux les bonnes choses de l’univers n’ont plus de place.

Pour manifester leur méchanceté, ils vont opérer des blocages, ressasser le passé, inventer des empêchements, critiquer et discréditer des gens irréprochables, en humilier ou agresser d’autres et faire des histoires pour rendre moches les trucs beaux et tout ruiner autour d’eux.

Toutes ces énergies négatives qu’ils envoient dans l’univers leur reviennent directement comme un boomerang sous la forme de malchance, déconvenues, échecs, stress, maladies, isolement et solitude.

Ça sert à quoi alors d’être méchant ?

Quel avantage en avez-vous tiré ?

Chacun son chemin

Chacun son cheminJ’aime bien la représentation métaphorique que la vie serait comme un chemin avec des hauts, des bas, des embuches et des opportunités, cela permet d’avoir une meilleure compréhension sur ce qui arrive et à prendre les évènements de façon plus philosophique.

Ainsi on peut imaginer que chacun suit son chemin depuis la naissance jusqu’à la mort et que sur ce chemin on découvrira plein de trucs, bons ou mauvais, pour nous faire passer le temps. Tant mieux d’ailleurs car sinon la vie serait très monotone !

Le chemin pourra donc être tantôt beau et tantôt moche. On y trouvera aussi des arrêts, des carrefours, des bifurcations, des montées des descentes, des aires de repos et des relais fleuris…

Vous me suivez ?

Au Stop à l’intersection, il faudra mettre un terme aux abus et aux situations qui ne sont plus satisfaisantes faute de quoi on ne pourra pas repartir sans se faire percuter.

A la bifurcation, il faudra faire rapidement des choix judicieux, en tout cas d’autres que ceux qui avaient déjà été tentés et qui ne menaient que vers des impasses.

Dans l’impasse, il faudra en sortir car on ne peut plus y avancer.

Les montées représentent les efforts à fournir et les épreuves à surmonter pour réussir à poursuivre son chemin. Certains resteront en bas de la côte sans plus fournir le moindre effort ou désir de remonter la pente et ce jusqu’à la fin de leur vie.

Les nids de poules et les obstacles sont les pièges tendus et les mauvaises rencontres qui servent à nous ralentir ou nous empêcher de parvenir à nos buts.

Les descentes servent à nous rappeler les méchancetés et les injustices que l’on a commises.

Les auberges sont les opportunités à saisir pour vous permettre de récupérer et de repartir sur un chemin plus beau et plus facile.

Sur leur chemin, certains abandonneront pour d’obscures raisons les gens qui les aimaient et avec qui ils devaient cheminer, ceux-ci finiront seuls ou mal accompagnés. Ceux qui auront été abandonnés sur le bord du chemin devront attendre que l’on revienne les chercher ou que l’Univers dessine une autre route pour eux.

Bien sûr, il faudra respecter quelques règles essentielles sur le chemin de sa vie et jamais se décourager pour ne pas se retrouver un jour dans un mur !

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A vos souhaits !

possibleAvec la nouvelle année arrivent les souhaits, les vœux, les résolutions et l’espoir que l’année qui commence sera meilleure et que nous serons enfin comblés de tout ce qui nous manque pour être heureux… Et nous voilà plongés dans la lecture de nos horoscopes afin de détecter à quel moment l’univers pourrait intervenir en notre faveur pour nous sortir de notre petite vie et de nos conditions insatisfaisantes…

Vraiment pathétique ! Pensez-vous véritablement que le changement d’année va vous permettre de changer de vie ? Albert EINSTEIN lui-même s’était agacé par ces raisonnements absurdes et il avait déclaré « la folie, c’est de se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent ».

En effet, comment voulez-vous que votre situation s’améliore si vous-même vous ne vous améliorez pas… Bon, prenons quelques exemples très crus ! Si vous continuez à :

  • ne pas prendre les décisions qui s’imposent et mener les actions pour les appliquer,
  • vous laisser aller,
  • refuser les opportunités,
  • mépriser tout le monde,
  • ne pas avoir d’ambition,
  • ne pas avoir de projets,
  • accueillir votre « âme sœur » comme votre ennemi,
  • vous accrocher aux gens qui ne vous aiment pas et ne vous respectent pas,
  • ne plus vous instruire,
  • aller contre vos intuitions,
  • croire toutes les conneries que l’on vous raconte,
  • renoncer et reculer encore,
  • être négatif,
  • amasser votre argent au lieu de vous en servir pour réaliser vos rêves,
  • ne pas avoir de courage,
  • régresser au lieu de progresser,
  • être élégant comme un plouc,
  • vous nourrir n’importe comment,
  • faire n’importe quoi,
  • ne pas voir votre réalité objectivement…

J’arrête là ! Vous êtes vous reconnu à travers plusieurs de ces comportements largement répandus chez les humains ? Alors si vous pouvez identifier ce qu’il faudrait changer chez vous et si effectivement vous agissez dans ce sens, alors vous pourrez espérer des améliorations dans votre vie. Sinon, pas besoin d’être astrologue ou extralucide pour vous prédire encore une année pourrie en perspective.

Posez-vous donc les bonnes questions comme, combien d’années vous restent à vivre et encore combien d’années allez-vous ruiner avant de prendre conscience que vous avez définitivement gâché votre vie ?

Pourquoi avoir peur de vivre ?

Pourquoi avoir peur de vivre

Je me rends compte que les gens ont peur de tout, ils n’osent rien faire de leur vie. Ils ont peur de vivre et de mourir… Ils pensent, à quoi ça sert de vivre puisque l’on doit mourir ?

Donc ils refusent d’avancer, de changer, de progresser, d’agir, de saisir leur chance, de prendre des risques, d’être lucides, d’être heureux, d’aimer, d’aider, de gagner, de perdre, de faire, de penser, d’admettre la réalité telle qu’elle est… Ils entretiennent des schémas plombants et aliénants car ils ont peur !

Inutile de se compliquer la vie, ce qui doit arriver est déjà arrivé ou arrivera !

Pour ma part je ne comprends pas ces gens qui souhaitent vivre le plus longtemps possible tout en chiant dans leur froc et ce sans développer la moindre ambition de réussir leur longue vie !

Moi je n’ai pas peur, j’ai frôlé la mort à plusieurs reprises et j’ai compris que si je suis vivante c’est parce que l’univers a encore prévu des trucs pour moi, j’ai confiance…

J’ai notamment survécu à une collision frontale, j’ai été électrocutée par la foudre dans ma douche, le portail du dépôt de mon père m’est tombé dessus alors que je voulais libérer notre chien, je me suis rattrapée par miracle d’un début de chute que j’ai fait dans une falaise de plusieurs dizaines de mètres, j’ai chopé la varicelle à 35 ans, ma voiture est partie en aquaplaning sur l’autoroute entre les camions, mon premier conjoint (un fou furieux sous l’emprise constante de cocaïne) voulait régulièrement me tuer, une énorme branche pourrie est tombée à quelques centimètres de moi au jardin botanique, un motard est venu me percuter… Et d’autres accidents encore… Bref, la vie ne tient qu’à un fil et elle peut s’arrêter à chaque instant.

Ce simple constat m’a permis de décider pour moi-même de faire des choses que peu de gens auraient le courage de faire. Vous en doutez ? J’ai déjà changé complètement ma vie, je suis partie vivre au Canada, j’ai abandonné mes parents et mes amis, j’ai renoncé à mes biens, à mon entreprise florissante, à mon travail et à mon argent… Comme ça sur une simple intuition que j’en avais fait le tour.

Et maintenant ! Je ne regrette rien car si j’avais hésité, je n’aurais probablement pas eu mes deux enfants qui ont donné du sens à ma vie. Je sais bien que je peux refaire ce que j’ai réussi dans le passé et je suis bien décidée à saisir les rares opportunités qui se présenteront à moi avant ma mort, même si cela m’oblige à quelques sacrifices car je n’ai pas peur de vivre ni de mourir.

Peu importe la durée de la vie et la façon dont on meurt, ce qui compte c’est tout ce qu’on a fait pour vivre intensément avant de mourir !

Méditation pleine conscience au travail ?

Depuis quelques mois on apprend dans les magazines et journaux, qu’une nouvelle méthode anti-stress est pratiquée partout aux Etats-Unis, dans toutes les entreprises, un truc révolutionnaire, formidable, qui libère toutes les tensions sur les lieux de travail…. La méditation pleine conscience !

Du coup, je m’y suis intéressée et vous savez quoi ? La méditation pleine conscience c’est la base (de la base) de la sophrologie Caycédienne. C’est-à-dire que la pleine conscience c’est de la « relaxation dynamique du cycle 1 de la sophrologie » que l’on pratique assis ou debout et qui correspond au 1er niveau de relaxation en sophrologie qui en compte douze à ce jour.

Ensuite je me suis demandée comment sont formés les gens qui proposent de faire de la méditation pleine conscience et existe t-il des protocoles comme nous en avons en sophrologie ? Parce que les sophrologues diplômés ont appris comment faire pour placer quelqu’un rapidement dans l’état sophroliminal, ce qui correspond à un état très relaxé où la substance réticulée du cerveau est au repos alors que la personne reste parfaitement consciente, mais cela s’apprend et ne s’improvise pas !

Naturellement c’est bien de parler de cette méthode de relaxation car il est prouvé et reconnu par la communauté scientifique que les méthodes de relaxation sont les plus efficaces pour traiter les problèmes liés au stress et à l’anxiété, mais à ce jour elles ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale. Alors pourquoi seraient-elles proposées gratuitement par les entreprises pour les salariés ? Il n’y a pas de budget et pas de temps pour cela dans les entreprises malgré les obligations faites à l’article Art. L4121-4 du Code du Travail. Je connais fort bien cette situation puisque j’ai moi-même cherché à faire de la sophrologie dans des entreprises, sans grand succès !

De même que les gens qui souffrent beaucoup de stress ou d’anxiété, ils ne veulent pas payer pour se relaxer, ils peuvent dépenser beaucoup pour leur voiture ou leurs vacances mais ils ne veulent pas débourser le moindre argent pour leur santé !

Je m’interroge donc sur le point de savoir pourquoi les médias mettent en avant une méthode de relaxation en particulier, qui est par ailleurs déjà pratiquée et proposée en mieux par les sophrologues, car de toute façon il n’y a pas « de marché » de la relaxation en France puisqu’il n’y a pas de financement !

Je vais quand même ajouter dans les mots clés de mes sites Internet, « méditation », « pleine » et « conscience », au cas où quelqu’un chercherait une personne capable de la proposer. Mes confrères sophrologues feront de même que moi.

Pourquoi reçoit on du mépris ?

le mépris

Tout au long de notre vie nous recevons des marques de mépris, comme ça, pour rien et ce aussi bien de gens proches ou même de parfaits étrangers. Cela est compréhensible lorsque l’on est effectivement méprisable, mais on ne comprend pas pourquoi nous pouvons être maltraités et rejetés alors que nos attentions sont bonnes, notre esprit ouvert et nos idées correctement dirigées.

Cela vous est arrivé et vous l’avez mal pris ? Ne vous tracassez pas outre mesure car ce n’était pas de votre faute et vous ne l’aviez pas mérité.

Reste à savoir pourquoi une personne en méprise une autre ? Selon moi il y a de nombreuses hypothèses et je vais vous en faire partager certaines ci-dessous :

  • Vous avez affaire à un individu très bête… Comme la méchanceté et la bêtise sont étroitement liées, il est naturel que cet individu soit également méchant.
  • Vous êtes mieux à tous les points de vue que votre interlocuteur et il en a pris conscience, dès lors il préfère vous évincer directement.
  • Vous êtes en face d’une personne « mauvaise comme la gale », mauvaise donc médiocre, à éviter soigneusement !
  • Les minables sont si démunis qu’ils n’ont que du mépris à offrir !
  • Votre interlocuteur n’a reçu aucune éducation et ne dispose d’aucun repère ou modèle pour évoluer en société.
  • Vous avez affaire à une personne simplement énervée et stressée, après coup elle se rendra compte qu’elle s’est couverte de ridicule envers vous et si elle doit vous revoir elle cherchera probablement à s’excuser.
  • Vous êtes en présence de quelqu’un qui consomme diverses substances et cela a modifié durablement sa perception des choses.
  • Vous lui rappelez quelqu’un qu’elle déteste !
  • Vous êtes confronté à un individu qui se sent nettement supérieur aux autres en général, peut être Dieu lui-même, mais attention pour lui quand même car l’arrogance précède la ruine et l’orgueil précède la chute, c’est bien connu !
  • On a dit du mal de vous à cette personne et elle préfère en rester là plutôt que de s’assurer par elle-même de votre valeur.
  • Votre interlocuteur ne sait pas encore qu’il aurait besoin de vous.
  • Vous êtes en présence d’une personnalité paranoïaque ou obsessionnelle et vous représentez une menace éventuelle ou une source d’ennuis pour cette personne. Elle peut s’imaginer n’importe quoi à votre propos et vous ne pourrez pas la faire changer d’avis. Seul un bon psychiatre pourra l’aider à dépasser ses idées fixes et à réviser ses jugements tranchés et erronés.
  • Vous êtes en présence d’une personnalité narcissique. L’absence de considération et de compassion sont permanents chez elle, cette personne a besoin de piétiner les gens en général, mais les gens à terre c’est encore mieux pour elle. L’individu est très dangereux et il ne changera pas. A fuir absolument !

Vous voyez, il faut relativiser tout le mépris que vous avez déjà reçu dans votre vie, il faut surtout rester attentif et garder une bonne ouverture d’esprit car si vous avez croisé souvent des mauvaises personnes, ne perdez pas de vue que de temps en temps le hasard placera sur votre chemin des gens altruistes qui pourront vous aider et qui sauront vous apprécier à votre juste valeur.

Apprendre à se relaxer ou passer directement aux anxiolytiques ?

Plusieurs études ont été menées dans divers pays européens sur les maladies dues au stress et leurs effets sur la société et les chiffres qui en ressortent sont tout à fait inquiétants. En Allemagne, le nombre des dépressions ou de Burn-out a été multiplié par 7 entre 2004 et 2011. Au Luxembourg, une personne sur deux prend des somnifères pour pouvoir dormir. En France, on ne connaît pas bien les chiffres car la dernière étude officielle date de 2005, mais on sait toutefois que les français sont les champions du monde de la consommation de médicaments psychotropes !

Pourquoi et comment on en est arrivé là ? Tout d’abord par l’absence et le manque de culture sur le sujet. Si l’on apprenait aux enfants à respirer et à se relaxer dès l’école primaire et si l’on expliquait aussi aux adultes qu’ils peuvent gérer eux-mêmes leurs degrés de stress, d’anxiété et d’émotion avant d’en souffrir, on n’en serait pas là !

Au lieu de cela, les gens vont naturellement là où c’est facile ! Ils commencent par boire un coup le soir en rentrant du boulot, puis comme leur mal-être empire, ils vont voir un médecin car c’est remboursé par la « sécu ». Dès lors et comme ils estiment qu’ils n’ont pas à payer pour leur santé, le médecin ne peut naturellement pas les aider autrement qu’en leur prescrivant d’abord, un anxiolytique ou un somnifère, puis ensuite un antidépresseur. Plus tard, le médecin devra les envoyer chez un confrère psychiatre qui interviendra de toute façon trop tard car ce spécialiste n’est remboursé, en France, qu’en cas de trouble psychique avéré !

Quand on en est arrivé à ce stade, on ne peut plus travailler et on ne peut plus prendre une bonne décision pour soi même ou sa famille ! En outre, on constitue une charge qui coûte énormément d’argent à la société.

Quel gâchis ! Il y avait pourtant d’autres choses à tenter avant de mettre le doigt dans cet engrenage, cela est scientifiquement prouvé !

On commence toujours par dire ce qui ne va pas, ensuite on cherche des solutions pour améliorer sa condition, puis il faut opérer les changements qui s’imposent quand vous ne supportez plus une situation en particulier. En parallèle, il faut faire de l’exercice physique et choisir une méthode de relaxation qu’il faut pratiquer au moins une fois par semaine dans les périodes où on se sent mal.

Les psychanalystes sont d’accord pour dire que les méthodes de relaxation sont les plus efficaces pour prévenir les risques psychosociaux et améliorer le bien-être, mais elles ne sont pas remboursées par les assurances et les caisses de maladie en France.

Ceci est franchement à méditer par les responsables de l’assurance maladie, lorsque l’on sait qu’en Suisse plusieurs méthodes de relaxation sont prises en charge (la sophrologie en particulier) et que le taux de malades y est inférieur de 45 % par rapport à la France.

Action ou contemplation ?

Savez-vous quelle est la différence entre l’action et la contemplation ?

La contemplation c’est l’immobilisme. Le contemplatif observe et admire l’environnement, des objets ou des individus et cela sans jamais rien tenter pour se les approprier ou s’en rapprocher car il pense que ce n’est pas fait pour lui mais pour d’autres.

L’action c’est le mouvement. L’actif sait ce qu’il veut, il sait ce qui est bon pour lui, il a des envies et des projets et il mettra tout en œuvre pour les atteindre et y accéder rapidement.

Le contemplatif regarde les vitrines sans entrer dans les magasins, il regarde les gens qui l’attirent sans oser les approcher, il vit au-dessous de ses moyens, il est rompu à la frustration et au manque, probablement conditionné depuis l’enfance au renoncement… Triste vie ! Mais heureusement pour lui tout peut encore s’arranger si le contemplatif décide de changer et de se prendre en main pour enfin parvenir à s’estimer lui-même.

Celui qui se situe dans l’action a horreur de la médiocrité, il déteste stagner et perdre son temps, il a défini ce qui est nécessaire pour lui et il agit pour l’obtenir, il est confiant, il n’a pas peur d’exprimer ses sentiments, il sait saisir sa chance, il rebondit sur ses échecs car il a toujours des projets… Bref, il a tout compris !

Et vous, où vous situez vous ?

Qu’attendez vous vous appuyer sur le bouton « action » ?